Descriptif de l'œuvre
Onduler, serpenter, comme un trait de crayon rapide sur une feuille de papier, quelques secondes durant lesquelles se transcrit la souplesse du geste. C'est l'image de l'eau lorsque celle-ci, après avoir chuté, roulé, cascadé, se donne enfin la liberté de flâner, paresseuse, dans un mouvement que rien ne vient entraver. C'est la furtivité du serpent dans les herbes hautes. Dans un monde aux mouvements chaotiques, c'est le luxe d'un temps offert, dans un paysage calme; une invitation à la rêverie. La pente douce, sur le flanc sud du Musée Ariana. se prête à ce geste : la souplesse de la forme fait que rien
dans ce projet n'est rectiligne, horizontal ou vertical.
Plus d'informations
Cette œuvre a figuré dans les expositions suivantes:
Bibliographie de l'œuvre
Isabelle Naef Galuba, Anne-Claire Schumacher, Luca Pattaroni, Jacques Kaufmann, MUR l murs. Jacques Kaufmann, architectures céramiques / Ceramic Architecture, 5 Continents, Milan, 2019, p. 30-35 (Oeuvre)
Partager cette page